Réflexion de décembre 1971 " connait on aujourd' hui le moteur de demain ? "
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LULU 91- Vo(s)tre véhicule(s) : MGB
Date d'inscription : 21/05/2012
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Re: Réflexion de décembre 1971 " connait on aujourd' hui le moteur de demain ? "
Sympa cet article de 1971, et ce qui est amusant aujourd'hui, c'est qu'on se pose encore les mêmes questions...
On a évolué dans certaines techniques comme pour le diesel, on a bien améliorer les perfos d'accélélration par exemple... mais on se pose toujours la question, mis déjà dans cet article : " comment se débarasser des suits à l'échappement". On cherche encore la meilleure technique, et les FAP ne retardent seulement leur sorties...
Pour la pure électrique, aujourd'hui encore, on a des batteries qui ne suffisent pas pour répondre aux besoins des clients en autonomie. Pourtant, les technologies ont bien changées, évoluées, mais c'est toujours insuffisant. Du coup, même Renault est obligé, aujoud'hui, de reconnaitre qu'il ne vendront pas 1 million de voitures électriques avant 2020 !!! Car les clients attendent toujours une vraie autonomie qui dure, même après 4 ans d'utilisation ...
Et pour les hybrides, les seuls clients qui haussent son achat, sont à plus de 75 % des LOA (Flottes d'entreprisent). Ainsi, ils n'ont pas de soucis de revente ... et surtout de durée de vie de la batterie, ou presque car il les Toyotas hybride auraient leur batteries défectueuse dès 3 ans d'utilisation...
Pour moi, la solution au gaz (Gaz Naturelle de Ville) est la meilleure. Mais pas une turbine, un simple moteur explosion (base esssence) adpatée au Gaz. C'est ce qui pollue le moins car ça rejette très peu de CO, pas de suit ou autres micro-particules... juste de la condensation = eau.
Le soucis, actuellement, c'est son approvisionnement : On dépend de l'extraction de "puits naturels" et surtout d'états dont la politique risque de nous rendre dépendant... La solution serai de produire ce gaz nécessaire à partir de nos déchets agricole, et surtout ménager. On brule des tonnes de déchets qui pourraient produire du gaz en France (emploi + écologie !). Alors pourquoi on ne développe pas cette solution ??? Est-ce un blocage par les pétroliers qui ont peurs de la concurrence ? de leur perte du monopole ?? autres ??? je ne sais pas mais je suis déçu qu'on en parle pas plus ...
On a évolué dans certaines techniques comme pour le diesel, on a bien améliorer les perfos d'accélélration par exemple... mais on se pose toujours la question, mis déjà dans cet article : " comment se débarasser des suits à l'échappement". On cherche encore la meilleure technique, et les FAP ne retardent seulement leur sorties...
Pour la pure électrique, aujourd'hui encore, on a des batteries qui ne suffisent pas pour répondre aux besoins des clients en autonomie. Pourtant, les technologies ont bien changées, évoluées, mais c'est toujours insuffisant. Du coup, même Renault est obligé, aujoud'hui, de reconnaitre qu'il ne vendront pas 1 million de voitures électriques avant 2020 !!! Car les clients attendent toujours une vraie autonomie qui dure, même après 4 ans d'utilisation ...
Et pour les hybrides, les seuls clients qui haussent son achat, sont à plus de 75 % des LOA (Flottes d'entreprisent). Ainsi, ils n'ont pas de soucis de revente ... et surtout de durée de vie de la batterie, ou presque car il les Toyotas hybride auraient leur batteries défectueuse dès 3 ans d'utilisation...
Pour moi, la solution au gaz (Gaz Naturelle de Ville) est la meilleure. Mais pas une turbine, un simple moteur explosion (base esssence) adpatée au Gaz. C'est ce qui pollue le moins car ça rejette très peu de CO, pas de suit ou autres micro-particules... juste de la condensation = eau.
Le soucis, actuellement, c'est son approvisionnement : On dépend de l'extraction de "puits naturels" et surtout d'états dont la politique risque de nous rendre dépendant... La solution serai de produire ce gaz nécessaire à partir de nos déchets agricole, et surtout ménager. On brule des tonnes de déchets qui pourraient produire du gaz en France (emploi + écologie !). Alors pourquoi on ne développe pas cette solution ??? Est-ce un blocage par les pétroliers qui ont peurs de la concurrence ? de leur perte du monopole ?? autres ??? je ne sais pas mais je suis déçu qu'on en parle pas plus ...
Re: Réflexion de décembre 1971 " connait on aujourd' hui le moteur de demain ? "
Oui Eric ,
Le gaz par la "fermentation" des déchets avait été évoqué par Véolia je crois vers 2008 ou 2009 . On devait faire une unité de production de " biométhane "
Il faut savoir que la décomposition des déchets ( non toxiques ) en l' absence d' oxigène contioennent une très forte proportion de méthane ( 50% )
Bref depuis silence " radio " ?????
Le gaz par la "fermentation" des déchets avait été évoqué par Véolia je crois vers 2008 ou 2009 . On devait faire une unité de production de " biométhane "
Il faut savoir que la décomposition des déchets ( non toxiques ) en l' absence d' oxigène contioennent une très forte proportion de méthane ( 50% )
Bref depuis silence " radio " ?????
LULU 91- Vo(s)tre véhicule(s) : MGB
Date d'inscription : 21/05/2012
Re: Réflexion de décembre 1971 " connait on aujourd' hui le moteur de demain ? "
Beh oui c'est incompréhensible, car Veolia développe en chine de grandes usines de fabrication de Gaz mais pas beaucoup en Europe. Pourquoi ??
Voilà quelques éléments sur les types de gaz :
Le gaz par la "fermentation" des déchets c'est du biogaz. Il est issu de la décomposition des déchets organiques. Il contient environ 30 % de méthane, qu'on appelle le « biométhane ».
Ce méthane est renouvelable parce qu'il vient d'une source organique. Il a les mêmes propriétés que le méthane qu'on retrouve dans le gaz naturel.
Le biogaz est produit dans des sites d'enfouissement, mais il est aussi possible d'en produire dans une machine spécialement conçue, le bioréacteur. Cette technologie est aussi appelée méthanisation.
Le gaz naturel (extrait de puits) est composé à 95 % de méthane, à moins de 4 % d'éthane et d'azote, ainsi qu'à 1 % de dioxyde de carbone et de propane. Il provient de la transformation naturelle, pendant des millions d'années, de matières organiques.
Le méthane est un gaz de la famille des hydrocarbures. Un hydrocarbure est un composé organique qui ne contient que des atomes de carbone et d'hydrogène. Avec un seul atome de carbone et quatre atomes d'hydrogène, le méthane (CH4) est l'hydrocarbure le plus simple.
Il y a d'autres hydrocarbures bien connus : le propane , l'éthane et le butane.
Le gaz naturel est inodore, mais on y ajoute un odorant pour des raisons de sécurité. C'est le mercaptan qui lui donne une forte odeur d'oeuf pourri. Cette odeur permet de détecter rapidement la présence de gaz naturel.
Ne s'enflamme pas facilement
Il faut que le gaz naturel atteigne une concentration précise de 5 % à 15 % et qu'une source d'ignition soit présente pour qu'il puisse s'enflammer. Hors de cette plage d'inflammabilité, le gaz naturel ne s'enflammera pas.
Non toxique:
Le gaz naturel est incolore, inodore et sans goût. C'est un gaz stable qui n'est ni toxique, ni corrosif. S'il se trouve en contact avec de l'eau, il ne se mélange pas et ne la contamine pas. Il fait des bulles, remonte à la surface et se dissipe rapidement dans les airs. Avec de telles propriétés et en respectant des règles de base de sécurité, le gaz naturel est une énergie pas plus dangereuse que les autres.
Pour utiliser dans un moteur, l'un ou l'autre des types de gaz, il faut simplement varier le mélange (proportions air/gaz) et la compression...
Et pour s'amuser voici maintenant une fabrication des réchauds au Biogaz fabriqué par soit ... http://www.riaed.net/IMG/pdf/Digesteur_demonstration_EDEN.pdf
Voilà quelques éléments sur les types de gaz :
Le gaz par la "fermentation" des déchets c'est du biogaz. Il est issu de la décomposition des déchets organiques. Il contient environ 30 % de méthane, qu'on appelle le « biométhane ».
Ce méthane est renouvelable parce qu'il vient d'une source organique. Il a les mêmes propriétés que le méthane qu'on retrouve dans le gaz naturel.
Le biogaz est produit dans des sites d'enfouissement, mais il est aussi possible d'en produire dans une machine spécialement conçue, le bioréacteur. Cette technologie est aussi appelée méthanisation.
Le gaz naturel (extrait de puits) est composé à 95 % de méthane, à moins de 4 % d'éthane et d'azote, ainsi qu'à 1 % de dioxyde de carbone et de propane. Il provient de la transformation naturelle, pendant des millions d'années, de matières organiques.
Le méthane est un gaz de la famille des hydrocarbures. Un hydrocarbure est un composé organique qui ne contient que des atomes de carbone et d'hydrogène. Avec un seul atome de carbone et quatre atomes d'hydrogène, le méthane (CH4) est l'hydrocarbure le plus simple.
Il y a d'autres hydrocarbures bien connus : le propane , l'éthane et le butane.
Le gaz naturel est inodore, mais on y ajoute un odorant pour des raisons de sécurité. C'est le mercaptan qui lui donne une forte odeur d'oeuf pourri. Cette odeur permet de détecter rapidement la présence de gaz naturel.
Ne s'enflamme pas facilement
Il faut que le gaz naturel atteigne une concentration précise de 5 % à 15 % et qu'une source d'ignition soit présente pour qu'il puisse s'enflammer. Hors de cette plage d'inflammabilité, le gaz naturel ne s'enflammera pas.
Non toxique:
Le gaz naturel est incolore, inodore et sans goût. C'est un gaz stable qui n'est ni toxique, ni corrosif. S'il se trouve en contact avec de l'eau, il ne se mélange pas et ne la contamine pas. Il fait des bulles, remonte à la surface et se dissipe rapidement dans les airs. Avec de telles propriétés et en respectant des règles de base de sécurité, le gaz naturel est une énergie pas plus dangereuse que les autres.
Pour utiliser dans un moteur, l'un ou l'autre des types de gaz, il faut simplement varier le mélange (proportions air/gaz) et la compression...
Et pour s'amuser voici maintenant une fabrication des réchauds au Biogaz fabriqué par soit ... http://www.riaed.net/IMG/pdf/Digesteur_demonstration_EDEN.pdf
Re: Réflexion de décembre 1971 " connait on aujourd' hui le moteur de demain ? "
Et voici des exemples de stations écologiques permettant de transformer leur pollution organique en énergie renouvelable :
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C'est ce que propose Naskeo aux petites et moyennes industries agroalimentaires et pharmaceutiques . NASKEO utilise un procédé naturel : la digestion anaérobie (ou méthanisation).
pas mal ? et simple !
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C'est ce que propose Naskeo aux petites et moyennes industries agroalimentaires et pharmaceutiques . NASKEO utilise un procédé naturel : la digestion anaérobie (ou méthanisation).
pas mal ? et simple !
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